Le film met en scène la célèbre bataille des Thermopyles qui a eu lieu en 480 avant Jésus-Christ opposant le roi Léonidas aux Perses de Xerxès. L'histoire se focalise sur le roi-beau-gosse Léonidas et 300 de ses plus fidèles soldats, élevés tels des guerriers depuis l'enfance, alors qu'ils doivent défendre Sparte contre l'armée perse de Xerxès comptant plus de 8000 soldats. Ayant l'avantage du terrain, ces 300 hommes assoiffés de liberté et de gloire combattront férocement jusqu'à ce que, trahis par un des leurs, ils soient encerclés par le méchant Xerxès plein de percings!
300 est adapté d'une bande dessinée de Franck Miller, parue en 1998. Frank Miller est un graphiste super-tendance-fashion en ce moment et surtout après l'adaptation au cinéma de l'une des ses oeuvres phares, Sin City (avec Bruce Willis, Jessica Alba et tralala).
Perso, sur 10, je lui mettrai une note de 7. L’art de Frank Miller, centré essentiellement sur le graphisme, a été bien respécté par Zack Snyder. J'ai été sensible aux décors et à l'esthétique générale du rendu. Les ombres, lumières, textures et contrastes offrent des scènes époustouflantes. Sachant qu'il a été entièrement tourné en studio devant un écran bleu à Montréal (yeah represent wesh wesh dédicace), pour le visuel moi je dis Chapeau l'artiste. Mais si Sin city bénéficiait d’histoires à la hauteur, il n’en est pas de même pour 300. On dirait que le réalisateur a complètement oublié le scénario tellement l’histoire est mince et les dialogues "plates". Les combats très violents et sanglants se suivent à un rythme effréné et même s'il ne s'agit pas d'une comédie, les corps ultra-super-méga-huilés-musclés des vaillants spartiates et leurs monologues exaltés m'ont fait beaucoup rire. Les traits des personnages et leurs motivations sont exagérés au maximum et en plus, des éléments fantastiques se mêlent à l'intrigue et rappelent pour beaucoup un certain Seigneur des Anneaux...
Bijou pour les yeux, mais déception pour le reste, le péplum sanguinaire 300 plaira aux amateurs de violence et d'affrontements mais pour les autres, cet exercice superficiel vous laissera probablement sur votre faim.
300 est adapté d'une bande dessinée de Franck Miller, parue en 1998. Frank Miller est un graphiste super-tendance-fashion en ce moment et surtout après l'adaptation au cinéma de l'une des ses oeuvres phares, Sin City (avec Bruce Willis, Jessica Alba et tralala).
Perso, sur 10, je lui mettrai une note de 7. L’art de Frank Miller, centré essentiellement sur le graphisme, a été bien respécté par Zack Snyder. J'ai été sensible aux décors et à l'esthétique générale du rendu. Les ombres, lumières, textures et contrastes offrent des scènes époustouflantes. Sachant qu'il a été entièrement tourné en studio devant un écran bleu à Montréal (yeah represent wesh wesh dédicace), pour le visuel moi je dis Chapeau l'artiste. Mais si Sin city bénéficiait d’histoires à la hauteur, il n’en est pas de même pour 300. On dirait que le réalisateur a complètement oublié le scénario tellement l’histoire est mince et les dialogues "plates". Les combats très violents et sanglants se suivent à un rythme effréné et même s'il ne s'agit pas d'une comédie, les corps ultra-super-méga-huilés-musclés des vaillants spartiates et leurs monologues exaltés m'ont fait beaucoup rire. Les traits des personnages et leurs motivations sont exagérés au maximum et en plus, des éléments fantastiques se mêlent à l'intrigue et rappelent pour beaucoup un certain Seigneur des Anneaux...
Bijou pour les yeux, mais déception pour le reste, le péplum sanguinaire 300 plaira aux amateurs de violence et d'affrontements mais pour les autres, cet exercice superficiel vous laissera probablement sur votre faim.